Carnets de voyage

Bienvenue à Katmandou : en mots, en sons et en images !

Pour la première fois, je vous propose un article à lire ou à écouter ! Sortez vos écouteurs, je vous emmène au Népal… 

Que garde-t-on d’un voyage ? Des images, des sons, des souvenirs fugaces, le fantôme d’une odeur ou d’un goût qui nous a marqué… Difficile de partager tout ça au travers de mots uniquement. C’est pourquoi je tente une nouvelle expérience aujourd’hui et vous invite, si vous le souhaitez, à écouter cet article.

Dans ce fichier audio (le player est un peu plus bas !), vous entendrez ma voix, qui vous lit l’article, mais aussi des sons d’ambiance, captés à chaque étape de notre voyage par Karl… L’avantage avec ce format, c’est que vous pouvez l’écouter les yeux fermés dans votre lit, dans votre salle de bain, votre voiture, le bus, en faisant la cuisine ou devant votre ordinateur, en regardant les photos en même temps.

Dans un souci maximum d’accessibilité, et pour contenter ceux qui préfèrent lire, une version écrite de l’article, légèrement différente de l’audio, est consultable ci-dessous.

Quel que soit le format que vous choisirez, je vous souhaite un bon voyage !

Bienvenue à Katmandou

Peut-on encore être surpris par le chaos qui règne à Katmandou après en avoir lu et entendu des dizaines de descriptions  ? La réponse est oui. Car c’est une chose de lire ou d’entendre des amis vous décrire la pollution de la ville, ses rues embouteillées, la misère d’une partie de la population, la saleté, la poussière, la désorganisation organisée…

Ceci est une route…
Dans le quartier de Thamel

De voir en photo ces vaches couchées tranquillement en plein milieu de la route…

Bon ok, elles ne sont pas « en plein milieu de la route » mais la photo est jolie !

Et c’en est une autre de la ressentir physiquement, de faire partie de cette vie qui grouille, d’être balloté par la foule, étourdi par les klaxons des scooters, de cracher la poussière qui vous irrite les poumons.

Et, en même temps, bizarrement Katmandou émerveille. Il y a la lumière vacillante des bougies au beurre de Yak qui illuminent le quartier bouddhiste dès la nuit tombée.

Les moulins à prière qu’on fait tourner pour se porter chance.

Et la vue inoubliable, depuis votre chambre d’hôtel, sur les sommets de l’Himalaya…

Les enfants et les chiots qui jouent dans la rue…

Et parfois aussi, les chiens font bronzette !

Prendre le taxi à Katmandou

Le lendemain de notre arrivée, nous avons décidé de nous rendre dans le quartier touristique de Thamel, à un peu plus de 5 km de notre hôtel, à pied. C’était long, poussiéreux et épuisant. Nous nous sommes donc rabattus sur le taxi pour nos déplacements.

Quand on prend le taxi à Katmandou, il y a 2 inconnues majeures :

  1. L’état du véhicule : il nous est arrivé de voir la route défiler sous nos pieds.
  2. L’heure d’arrivée : depuis quelques années, les rues de la capitale népalaise sont complètement embouteillées ou, comme dirait Guillaume, notre guide : « sa-tu-rey© ».
Quand tu vois la route entre tes pieds, dans le taxi…

En général, les chauffeurs de taxi sont plutôt sympathiques et d’une patience exemplaire face aux conditions de circulation de Katmandou. Une seule fois, nous sommes tombés sur un chauffeur de taxi un peu bizarre qui nous a demandé s’il pouvait s’arrêter en plein milieu de la course pour aller chercher des momos (raviolis tibétains).

Parmi les autres expériences insolites, on notera la présence d’un éléphant sur la route ou de quelques vaches couchées paresseusement au beau milieu de la circulation.

En tout cas, on a vite compris que chaque trajet au Népal serait une véritable aventure et ce, quel que soit le mode de transport utilisé ! Dans un prochain article, je vous parlerai peut-être des bus de campagne népalais. Croyez-moi, c’est tout un programme !

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